J’étais ce 4 septembre aux côtés de Martine Faita, maire de Pont-Évêque pour la rentrée des classes des écoles Jacques Yves Cousteau, Françoise Dolto et Les Genêts.
J’ai été accueillie au sein d’une classe “unité localisée pour l’inclusion scolaire” dites “ULIS”. J’ai pu ainsi voir l’application de ce dispositif mis en place par la circulaire n° 2015-129 du 21 août 2015 relatif à la scolarisation des élèves en situation de handicap dans le premier et le second degré et en mesurer les nombreux bénéfices.
Madame le maire de Pont-Évêque, Martine Faïta m’a interpellée sur l’investissement relatif aux classes ULIS. Sans jamais en regretter le bénéfice qui n’est plus à prouver, elle s’interroge néanmoins sur la solidarité que devraient témoigner les communes d’origine de ces enfants. En effet, la mairie de cette dernière se retrouve en charge de frais encadrement périscolaire. Or, ces coûts devraient normalement incomber, du moins in solidum, à ces communes, dans la mesure où ces derniers en bénéficient également indirectement.
Un dossier est en cours auprès des plus hautes instances éducatives pour obtenir des réponses notamment sur les assistants de vie scolaire (pénurie, chargés d’un seul enfant…).